Petite Maman, Des hommes, Nobody : les sorties cinéma du 2 juin

Petite Maman de Céline Sciamma

Avec Joséphine Sanz, Gabrielle Sanz, Nina Meurisse
Genre : Drame, comédie- Durée : 1h12

Nelly a huit ans et vient de perdre sa grand-mère. Elle part avec ses parents vider la maison d’enfance de sa mère, Marion. Nelly est heureuse d’explorer cette maison et les bois qui l’entourent où sa mère construisait une cabane. Un matin la tristesse pousse sa mère à partir. C’est là que Nelly rencontre une petite fille dans les bois. Elle construit une cabane, elle a son âge et elle s’appelle Marion. C’est sa petite maman.


Des hommes de Lucas Belvaux

Avec Gérard Depardieu, Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin
Genre : Drame- Durée : 1h41

Ils ont été appelés en Algérie au moment des « événements » en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d’autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. Mais parfois il suffit de presque rien, d’une journée d’anniversaire, d’un cadeau qui tient dans la poche, pour que quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier.


Nobody de Ilya Naishuller

Avec Bob Odenkirk, Aleksey Serebryakov, Connie Nielsen
Genre : Action- Durée : 1h32

Hutch Mansell, un père et un mari frustré, totalement déconsidéré par sa famille, se contente d’encaisser les coups, sans jamais les rendre. Il n’est rien. Une nuit, alors que deux cambrioleurs pénètrent chez lui, il fait le choix de ne pas intervenir, plutôt que de risquer une escalade sanglante. Une décision qui le discrédite définitivement aux yeux de son fils Blake, et qui semble l’éloigner encore plus de sa femme Becca. Cet incident réveille chez cet homme blessé des instincts larvés qui vont le propulser sur une voie violente, révélant des zones d’ombres et des compétences létales insoupçonnées. Dans une avalanche de coups de poings, de fusillades et de crissements de pneus, il va tout faire pour tirer sa famille des griffes d’un redoutable ennemi et s’assurer que, plus jamais, personne ne le prenne pour un moins que rien.


Egalement à l’affiche cette semaine :

  • Suzanna Andler de Benoît Jacquot

Années 60. Une villa de vacances, au bord de la mer, hors saison. Une femme, Suzanna Andler, 40 ans, mariée, mère. Son jeune amant, le premier, Michel. La solitude, les doutes, l’envie de liberté, les choix de la vie. Et l’amour.

  • Playlist de Nine Antico

Sophie a 28 ans. Elle aimerait être dessinatrice, mais ce serait tellement plus facile si elle avait fait une école d’art. Elle aimerait aussi trouver l’amour, mais ce serait tellement plus facile s’il vous sautait aux yeux. Elle multiplie les expériences amoureuses et professionnelles. Prendre des coups, beaucoup, en donner, un peu : c’est ça, l’apprentissage. Dans sa tête tourne en boucle Daniel Johnston, qui chante que « l’amour véritable finit bien par vous tomber dessus » ; mais Sophie se demande s’il dit vrai.

  • Billie Holiday, une affaire d’état de Lee Daniels

Billie Holiday est sans conteste l’une des plus fascinantes icônes du jazz, mais derrière sa voix légendaire, se cache une femme dont le combat acharné pour la justice a fait d’elle la cible du plus puissant des pouvoirs…

Retrouvez notre critique de Billie Holiday, une affaire d’état

  • Villa Caprice de Bernard Sora

Avocat célèbre, Luc Germon pense atteindre la consécration lorsque Gilles Fontaine, l’un des patrons les plus puissants de France, lui demande de prendre sa défense. L’homme d’affaires est soupçonné d’avoir acquis dans des conditions douteuses une magnifique propriété sur la Côte d’Azur, la Villa Caprice.

  • Les Séminaristes de Ivan Ostrochovský

En Tchécoslovaquie au début des années 1980, le régime communiste musèle l’église. Deux jeunes séminaristes devront choisir entre la soumission à la police secrète, ou une fidélité à leurs convictions qui pourrait leur coûter la vie.